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Le cas Conil

Rencontres surprenantes

Espagne - 1982


Evaristo Fandiño se trouvait en vacances à la ville de Conil (Cadix) en septembre 1982. Une nuit à marée basse il décida de se promener sur la plage (laquelle était très sombre). Il aperçut au loin quelques figures de très grande taille qui, au premier abord, semblaient des personnes montées à cheval et portant des capes brillantes reflétant le peu de scintillements visibles sur la plage. Dans un premier temps il pensa que ces figures s’approchaient de lui, mais lorsqu’il commença à avancer vers eux, il eut l’impression qu’elles s’éloignaient. Evaristo pressa le pas et réussit à s’en approcher de presque 15 mètres. Il constata à cet instant qu’il ne s’agissait pas de cavaliers mais plutôt de figures stylisées de presque quatre mètres de hauteur. Elles avaient sur la tête une espèce de couronne finissant en pointe.

Evaristo pris peur et ne voulut pas s’approcher d’avantage ; les « cavaliers » disparurent dans le noir.

Quelques années plus tard, en 1989, Isabel Sánchez (17 ans), Lázaro (14 ans), Pedro González (21 ans), Loli Bermúdez (23 ans) et Pedro Sánchez (19 ans), observèrent pendant plusieurs jours sur la plage des étranges lumières dans le ciel. Afin de nourrir leur curiosité, ils se rendirent chaque nuit au même endroit et à la même heure (20:30) avec l’intention de regarder ces énigmatiques lumières nocturnes qui se rendaient ponctuellement au rendez-vous. Mais la surprise fit place à la peur lorsqu’un soir les jeunes observèrent un objet lumineux en forme de demi-lune avec des lumières rouges disposées triangulairement à l’intérieur et d’autres pareillement étranges orangeâtres sur la ligne d’horizon communicant entre elles (d’après les observations des témoins) en émettant des scintillements.

Autour de neuf heures, ils observèrent à l’aide de jumelles que deux êtres d’au moins deux mètres de hauteur et portant des tuniques blanches se trouvaient proche du bord de mer. Leurs têtes étaient également blanches mais d’une nuance différente et n’avaient ni de cheveux ni de traits sur leurs visages. Après quelques minutes, les êtres s’allongèrent sur le dos et commencèrent à s’échanger une espèce de sphère bleu clair. Ils restèrent ainsi un moment jusqu’à ce que l’un des jeunes aperçut à travers les jumelles un autre être qui se tenait aux pieds des deux autres. Ce dernier était grand de trois mètres, sa tête était disproportionnellement immense et avait de grands yeux noirs.

D’après les témoins l'être gigantesque était habillé avec une combinaison moulante noire.

A ce moment là, ils observent comment les deux êtres allongés par terre se dressaient, mais étonnamment, ils avaient pris l’apparence d’un homme et d’une femme ayant l’air tout à fait normaux. Lui portait un jean et une chemise et elle avait les cheveux longs et portait une chemise et une jupe longue blanche. Il était brun, elle était blonde. Une fois ces individus redressés, ils partirent tranquillement vers la ville et prirent une chambre dans un hôtel en tant que touristes allemands. Des chercheurs postérieurs à Juanjo Benitez découvrirent un fait surprenant : la documentation de l’étrange couple avait été falsifiée et elle appartenait en vérité à un couple allemand qui n’avait jamais séjourné en Espagne.

Pendant ce temps, l’être en noir était resté sur la plage à regarder les jeunes, se dirigeant ensuite vers l’ouest. L’étonnement fut encore plus grand lorsque les témoins purent regarder comment l’être ne marchait pas mais volait sur un nuage blanc, très raide, sans jamais exécuter à aucun moment le moindre mouvement avec ses jambes. Malgré la peur, deux des témoins le poursuivirent en courant, mais plus ils courraient, plus l’être accélérait sa vitesse. A la demande du reste du groupe ils arrêtèrent la curieuse persécution. L’être s’arrêta également en se retournant vers eux. C’est à ce moment qu’ils purent constater l’absence de traits sur son visage à l’exception des yeux qui étaient creusés et d’un noir intense. Ils eurent l’impression que cet être leur mettait en garde contre quelque chose, mais ils n’attendirent pas de voir de quoi il s’agissait et partirent tout de suite à la rencontre du reste du groupe.

L’histoire ne s’arrête pas là. Ils observèrent plus tard une étrange lumière dans le ciel se dirigeant vers l’est et se déplaçant sans produire le moindre bruit, comme si elle faisait des petits sauts en zigzag. Une fois tout fini, le frère de Loli, Juan Bermudez, les rejoignit. Après lui avoir raconté les événements, ils se mirent à examiner les traces laissées par les « allemands » sur la plage. Ils purent constater des petits tas que les êtres avaient laissés sur le sable et qui semblaient être une petite cachette ainsi que des sortes de griffures sur le sable fait par des doigts très fins et longs qui ressemblaient à des traces de râteau.

Les traces des pieds correspondant à des pieds de 45 cm de long et 15 de large démontraient qu’ils étaient déchaussés. La voûte plantaire était très creusée et la petite orteil très disproportionnée. D’après les témoins, les traces des pieds de la femme étaient si marquées sur le sable que celles de l’homme, alors que l’être masculin était beaucoup plus grand et par conséquence plus lourd que la fille !

Sur le chemin pris par le couple vers la ville, à quelques 20 mètres de « la cachette » sur le sable ils trouvèrent aussi des traces en cercle autour d’un point. Cependant, les jeunes n’observèrent à aucun moment le couple faire des tours de cette façon ! Il faut ajouter que le 29 septembre 1989, les très sophistiquées installations du radar d’Algésiras, chargées entre autres de contrôler la zone sur de l’Espagne, demeurèrent étrangement en panne (imaginons les conséquences que la sécurité national peut subir à cause d’une « erreur » de ce genre)

Juste un mois après les faits, des agents de la police municipal furent témoins d’étranges objets qui éclairèrent à leur passage les installations de Telefonica et la caserne. Suite aux déclarations des événements aux médias les cinq jeunes subirent toute sorte de critiques.

L’article fut publié le 5 octobre dans « El Diario de Cadiz ». Le groupe GEIFO (Groupe Espagnol d’Investigation du Phénomène Ovni) fut le premier à s’y rendre. Il posa toute sorte de questions et même participa avec eux à une alerte Ovni. Quelques jours plus tard, le GEIFO annonça dans la presse locale avec tambour et trompette que tout avait été une erreur de la part des témoins car ils avaient fait confusion avec les lumières d’un navire câblier, le Monarch, qui travaillait ce soir-là proche des côtes de Cadix. Pour comble de ridicule, il ajouta que les soi-disant extraterrestres observés par les jeunes étaient en réalités des plongeurs du navire britannique… qui avaient décidé de faire un tour en ville…

José A. Caravaca

El Rincon de José A. Caravaca

source :  http://www.tangaroalibros.com/inves/caravaca/conil.htm

Merci à Celia Bernal Castro pour cette traduction - celiabernal@hotmail.com

 

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